13 juillet 2013
La forme du sommaire doit servir sa lecture répétée. L’important est la correspondance claire entre les titres et leur page, mais aussi la hiérarchie de la numérotation de chaque titre pour permettre un repérage rapide. Toutes les parties du mémoire sont répertoriées. / CODES > ordre /
Les parties puis les chapitres doivent clairement ressortir, c’est le premier niveau de lecture, à la suite les sous-chapitres, puis la bibliographie, la table des illustrations et pour finir les annexes. Ces différents niveaux de lecture sont le principe même d’un sommaire. Pour le mettre en forme les outils à disposition sont :
– La numérotation des titres et des sous-titres,
– les distances entre les titres et les chiffres est à mesurer avec soin,
– La hiérarchie des hauteurs de typos qui donne l’ordre de lecture,
– les choix de majuscules et minuscules,
– les différences de gras, voir de gris,
– les retraits pas obligatoires.
(Attention de ne pas tomber dans le piège de la surenchère.)
Elle doit être d’une grande efficacité ne laisser aucun doute : tout se joue dans la distance entre le titre et le numéro de page, mais aussi dans les dimensions du numéro.
Voici quelques exemples significatifs (mais qui ne doivent pas être pris comme modèles exacts).
sommaire exemple 01 * + sommaire exemple 02 * + sommaire exemple 03 *
Voici également la procédure informatique qui permet de générer automatiquement le sommaire, puis de le mettre en forme selon ses choix. (PROCEDURES_INFO _*)
Mots-clés : sommaire
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